D’après l’article en castillan: http://www.naiz.eus/fr/actualidad/noticia/20141002/lakua-lanza-un-plan-para-los-presos-sin-ninguna-garantia-de-excarcelacion
De gauche à droite: Membres du Gouvernement basque, Mónica Hernando, Directrice de Victimes et Droits Humains (dans le cadre du soutien aux victimes du terrorisme) et Jonan Fernández, responsable de la mission « Paix et cohabitation ».
Ce plan propose que les prisonniers politiques signent une déclaration dans laquelle ils « s’engagent à la contribution d’une consolidation définitive de la paix et de la cohabitation ».
A partir de là, il leur sera demandé, via une commission gestionnaire, de s’impliquer sur le terrain, dans des projets concrets, qu’ils soient académiques, associatifs, institutionnels ou solidaires.
Ensuite le Gouvernement basque évaluera le chemin parcouru et le certifiera, si effectivement la « resocialisation » attendue a eu lieu.
Jonan Fernández indique qu’il s’est inspiré de la «vía Nanclares» et des critères européens sur cette question pour l’élaboration de ce plan.
En parallèle, ce plan, s’engage à porter les transferts des prisonniers ou à demander l’humanisation de l’actuelle politique pénitentiaire.
En ce sens Jonan Fernández a déclaré qu’un prisonnier malade ou de plus de 70 ans n’a pas besoin de suivre le programme Hitzeman pour que lui soit appliqué la loi. Il en va de même pour le rapprochement des prisonniers.
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