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Eric Marras maintenu en détention par la justice d’exception

Corses 1 mars 2015 Commentaires fermés sur Eric Marras maintenu en détention par la justice d’exception

Une loi française prévoit qu’un prisonnier en détention provisoire doit être libéré s’il n’est pas jugé au bout des 4 ans. Eric Marras aurait du sortir prochainement, mais il y a toujours une exception…

Communiqué commun du Rinnovu Naziunali è Aiutu Paisanu

  L’exception dans l’exception : le scandale du cas Eric Marras

Eric Marras est un patriote corse, détenu SDAT, en région parisienne depuis le 29 mars 2011. Il a été incarcéré dans la très vétuste maison d’arrêt de la Santé durant une instruction abusivement longue de plus de 3 ans. Son instruction étant close, Eric Marras aurait dû légitimement et en toute légalité être mis en liberté conditionnelle dans l’attente de son procès le 21 mai 2015. Il reste cependant en détention. Il est, de plus, détenu non pas à Borgu selon les engagements de rapprochement familial des gouvernements successifs mais à la maison d’arrêt de Fleury-Merogis !

La durée de la détention provisoire pour les affaires de terrorisme est portée à un maximum de 4 ans. Une personne non jugée dans ce délai doit être libérée. Eric Marras aurait dû ainsi comparaître libre à son procès fixé au 21 mai 2015. Une application sereine de la loi laissait présager sa sortie de prison le 21 février. Or, le Parquet via le procureur a demandé une prolongation exceptionnelle de 6 mois de sa détention préventive. Pour neutraliser la revendication nationale corse, l’Etat n’hésite pas à recourir à  une exception de plus.

Nous nous interrogeons à nouveau : cet acharnement contre Eric Marras ne s’explique-t-il pas par son lien avec le courant Rinnovu ? Pour Eric Marras, l’emprisonnement préventif c’est-à-dire une peine effective de prison sans procès équitable, sans jugement, est porté exceptionnellement, par dérogation, à 4 ans et demi. Nous dénonçons avec force cette exception dans l’exception qu’est déjà la SDAT. Nous réfutons cette véritable « lettre de cachet » du Pouvoir français. Dans le cadre de ses demandes de remise en liberté, Eric Marras doit être relâché.

LIBERTA PER ERIC MARRAS

CSC_Marras

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